MaxiCoffee
La start-up MaxiCoffee, leader français de la vente de café en ligne, propose depuis peu son brunch du samedi. Un mariage réussi entre boutique, café et restaurant.
La jeune start-up de La Teste-de-Buch (Gironde), créée par Jean-Charles Krompholtz il y a dix ans, n’en finit plus de grandir…
Sur les bords du Bassin, l’entreprise se hisse désormais au premier rang national pour la vente de café et ses dérivés (machines, cafetière, accessoires, vrac). MaxiCoffee a acquis sa notoriété principalement sur le web…. « Certains habitants ne connaissent pas encore notre existence alors que nous vendons nos produits partout en France », souligne Marie Bisseuil, responsable communication de l’entreprise. « C’est pour cela que nous avons eu envie de sortir de l’ombre et d’ouvrir notre premier ‘‘Shop and Store’’. ». Un lieu hybride entre restaurant, café, coffee-shop et boutique.
Expresso, macchiato, mocaccino
« C’est d’abord un lieu où l’on prend plaisir à s’attabler quelques instants pour profiter d’un excellent café, de quelques boissons chaudes, de pâtisseries faites sur place et de plats chauds pour le déjeuner », promet Marine Saintoyand, chargée de communication. L’enseigne vient de lancer son brunch, chaque samedi de 11h à 15h.
Avec un point fort derrière le comptoir : ses “baristi”. Raphaël et Mikaël, virtuoses dans l’art du “Latte” - motifs dessinés sur la mousse du cappuccino - ils maîtrisent à merveille les températures, les extractions, les assemblages. Leurs expresso, macchiato ou mocaccino témoignent de leur savoir-faire… Très joli choix de thés également.
Focaccia et café frappé…
Pour accompagner les boissons chaudes, la cheffe Natasha et Océane s’affairent en cuisine… Dans les vitrines, les clients salivent devant les yaourts granola, les assiettes de fruits frais et les confitures de la Maison Marelia, installée à Andernos-Les-Bains. « Nous essayons de travailler avec de nombreux partenaires locaux, pour les fruits et légumes notamment », insiste la jeune femme. Côté salé, la tartine d’avocat feta grenade côtoie la focaccia avec son œuf cocotte et sa crème à l’aneth. Les cakes maison et les pâtisseries complètent l’ardoise. Mais n’oublions pas non plus les originalités de ce brunch : les cafés glacés ou “cold brew”. « Ce sont des préparations de 8 à 12 heures soit au goutte-à-goutte, soit en infusion », détaillent les baristi. « On obtient un café avec beaucoup plus de corps et une explosion aromatique mais le café sera beaucoup plus caféiné. »
Il faut dire qu’à 16,90 euros le brunch a déjà ses fidèles. Un second “Store and Shop” ouvrira ses portes sur place, entre Bordeaux et le Bassin. Avis aux amateurs…
Bruncher sous les pins
Hôtel Ha(a)ïtza
Côté Sud-Bassin, commençons par le brunch royal, celui de l’hôtel pylatais “Ha(a)ïtza” du chef étoilé Stéphane Carrade. 59 euros certes, mais un choix incomparable et un raffinement des produits dans cette luxueuse maison de famille.
www.haaitza.com
Tél : 05.56.22.06.06
Pinasse café
Enfin, sur la presqu’île du Cap-Ferret, huîtres, foie gras, poissons et fruits au menu du brunch du “Cabanon” du Pinasse Café. 37 euros tous les dimanches et jours fériés avec la vue sur la Dune et Bélisaire.
www.pinasse-cafe.com
Tél : 05.56.03.77.87